Une façon de ne pas se laisser entraîner par des événements malheureux est de toujours en apprendre quelque chose, ce qui est toujours productif pour soi et pour les autres: « Les existences faibles vivent dans les douleurs, au lieu de les changer en apophtegmes d’expérience, elles s’en saturent, et s’usent en rétrogradant chaque jour dans les malheurs consommés » (Balzac, César Birotteau).



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Comment positiver ses malheurs ?