Selon une étude réalisée à l’Université de Minnesota, les adolescentes qui prennent en famille au moins 5 repas par semaine ont un risque dimininué de près de 30 % de recourir à des mesures extrêmes pour perdre du poids (vomissements, laxatifs, diurétiques), et indépendamment des différences de caractéristiques sociodémographiques, de l’index de masse corporelle, de la qualité du lien familial ou de l’éventuelle incitation des parents à entamer un régime.